Expositiondu MusĂ©e amĂ©ricain d’histoire naturelle de New York, montrant toujours la fausse reconstitution du Pakicetus, avec des â€œĂ©vents” (flĂšche rouge) et des yeux en position basse (flĂšche blanche), alors que le crĂąne rendu public en 2001 montrait clairement que les narines Ă©taient au bout du nez et que les yeux Ă©taient au sommet de la tĂȘte, pas du tout comme pour un Un autre emblĂšme de l’évolution mord la poussiĂšre PremiĂšre publication 12 avril 2014 TU+10Figure 1. Exposition du MusĂ©e amĂ©ricain d’histoire naturelle de New York, montrant toujours la fausse reconstitution du Pakicetus, avec des â€œĂ©vents” flĂšche rouge et des yeux en position basse flĂšche blanche, alors que le crĂąne rendu public en 2001 montrait clairement que les narines Ă©taient au bout du nez et que les yeux Ă©taient au sommet de la tĂȘte, pas du tout comme pour un odontocĂšte. Photo tirĂ©e d’Evolution The Grand Experiment, 3e Ă©dition, ©Dr Carl Werner, 2014. Mis Ă  jour Ă  partir de Creation 36434–35; January 2016 Les musĂ©es et les manuels d’aujourd’hui prĂ©tendent que les fossiles de baleines fournissent la preuve la plus claire de l’évolution ils ont pour la plupart laissĂ© tomber l’évolution du cheval parce que la petite histoire ne tient plus face Ă  un examen minutieux.1 Trois des principaux fossiles dans la petite histoire de la baleine sont le Pakicetus, l’Ambulocetus et le Rodhocetus, dont il est dit qu’ils constitueraient le lien entre un certain animal terrestre et des baleines trĂšs longues et fines connues sous le nom de Sans ces trois-lĂ , la petite histoire s’effondre. Le Dr Carl Werner, auteur d’Evolution the Grand Experiment, a enquĂȘtĂ© sur les allĂ©gations en interviewant les chercheurs ainsi que d’autres personnes. Il a dĂ©couvert qu’aucun des fossiles ne tient la route en tant que transition vers les baleines. Ses conclusions, publiĂ©es dans une importante annexe de 25 pages de la nouvelle Ă©dition de 2014 de son livre, dĂ©truisent complĂštement la petite histoire de l’évolution des baleines. En voici quelques points forts. Le Pakicetus Nous avons dĂ©jĂ  fait remarquer l’affabulation extrĂȘme qui s’est produite avec Pakicetus, impliquant le Dr Philip Un crĂąne fossile incomplet fut imaginĂ© comme Ă©tant celui d’un cĂ©tacĂ©, qui fut affichĂ© en tant que vue d’artiste sur la couverture du prestigieux journal Science, en 1983. Quelques annĂ©es plus tard, des restes du Pakicetus furent dĂ©couverts, rendus publics en 2001, et s’avĂ©rĂšrent ne ressembler en rien Ă  une baleine. Contrairement Ă  ce que le Dr Gingerich avait imaginĂ©, il n’y avait pas d’évent, pas de nageoires juste des sabots et pas de cou de baleine juste un cou typique des mammifĂšres terrestres. MalgrĂ© tout, le Dr Werner a rĂ©vĂ©lĂ© que le MusĂ©e amĂ©ricain d’histoire naturelle de New York et le MusĂ©e d’histoire naturelle de Londres n’ont pas cessĂ© d’utiliser le crĂąne reconstruit de maniĂšre erronĂ©e qui montre un Ă©vent voir figure 1. Dans un documentaire du National Geographic de 2009, le Dr Gingerich a continuĂ© Ă  affirmer que le Pakicetus devrait ĂȘtre classĂ© parmi les cĂ©tacĂ©s, sur la base de l’osselet de son oreille. Toutefois, l’osselet de son oreille ne ressemble pas Ă  celui d’une baleine, qui a une projection en forme de doigt le processus sigmoĂŻde, mais est plat, comme les fossiles des animaux terrestres connus sous le nom d’artiodactyles. Figure 2. Tableau d’un Ambulocetus Ă  l’Institut Smithsonian affichant un faux Ă©vent et des oreilles minuscules. Il n’y a pas de preuve fossile pour l’une ou l’autre de ces caractĂ©ristiques des cĂ©tacĂ©s allĂ©guĂ©es. Photo tirĂ©e d’Evolution The Grand Experiment, 3e Ă©dition, © Dr Carl Werner, 2014. L’Ambulocetus Figure 3. Comparaison des pommettes d’un cĂ©tacĂ© un dauphin, qui fait partie de la famille des baleines, d’un Ambulocetus et d’un cheval. Le Dr Thewissen affirmait que la pommette de l’Ambulocetus est mince et ressemble Ă  celle des cĂ©tacĂ©s, mais ce n’est pas le cas du tout extrait d’Evolution the Grand Experiment, troisiĂšme Ă©dition, 2014, © Dr Carl Werner La “baleine qui marche” est dĂ©crite comme un intermĂ©diaire entre le Pakicetus et le Rodhocetus. Le Dr Hans Thewissen, un ancien Ă©lĂšve du Dr Gingerich, a dit qu’il y a huit caractĂ©ristiques qui montrent que l’Ambulocetus Ă©tait un ancĂȘtre des baleines. Nous avons aussi parlĂ© de l’Ambulocetus figure 2,4 mais le Dr Werner a filmĂ© l’admission du Dr Thewissen comme quoi une preuve-clĂ© de l’ascendance des cĂ©tacĂ©s, le processus sigmoĂŻde de l’appareil osseux auriculaire encore une fois, ne ressemblait en rien Ă  une oreille de baleine. De mĂȘme, la pommette, dont le Dr Thewissen a dĂ©clarĂ© qu’elle est mince comme une pommette de baleine, n’est en rĂ©alitĂ© pas mince du tout; un cheval, par exemple, a une pommette bien plus mince que l’Ambulocetus voir figure 3. De plus, le laboratoire du Dr Thewissen a fourni Ă  diffĂ©rents musĂ©es des modĂšles d’Ambulocetus dotĂ©s d’évents sur le museau. D’aprĂšs le Dr Werner “Les huit traits qu’il a dĂ©clarĂ©s ĂȘtre caractĂ©ristiques des cĂ©tacĂ©s le sont si peu que c’en est dĂ©rangeant.” Le Rodhocetus Le Rodhocetus Ă©tait considĂ©rĂ© comme un animal aquatique qui Ă©tait en train de dĂ©velopper des nageoires avant et une queue de baleine avec des lobes horizontaux autrement dit, il Ă©tait en passe de devenir une baleine. Toutefois, lorsque le Dr Werner a fait remarquer au Dr Gingerich, le palĂ©ontologue qui a dĂ©couvert le Rodhocetus, qu’il n’y avait aucune preuve squelettique fossile d’une queue ou de nageoires, le Dr Gingerich a admis que c’était le cas. Il a aussi admis qu’il pensait dĂ©sormais que la crĂ©ature n’avait aucune de ces caractĂ©ristiques cruciales des cĂ©tacĂ©s. Nous avons fourni une partie de ces informations dans le magazine Creation en Pourtant, plusieurs articles affichent encore la queue et les nageoires, et je parie que, comme les faux dessins d’embryons de Haeckel,6 ils le seront pendant plusieurs annĂ©es Ă  venir. Sans ces trois crĂ©atures supposĂ©ment transitionnelles, la petite histoire de l’évolution de la baleine s’effondre. Un autre emblĂšme de l’évolution mord la poussiĂšre! Le Dr Philip Gingerich, le dĂ©couvreur du Rodhocetus, admet que le lobe caudal et les nageoires affichĂ©es dans les reconstructions de musĂ©e du Rodhocetus sont incorrects et que les dĂ©couvertes de fossiles ultĂ©rieures montrent qu’il n’avait pas de telles caractĂ©ristiques. La cĂ©tacéïtude » de l’Ambulocetus se base largement sur l’allĂ©gation que l’os tympanal ressemble Ă  celui d’une baleine. Le Dr Hans Thewissen admet que c’est discutable. Le Dr Hans Thewissen admet que les fossiles d’Ambulocetus n’incluent pas la partie du crĂąne avec un Ă©vent, bien que les musĂ©es montrent l’Ambulocetus avec un Ă©vent. Autrement dit, c’est imaginaire. Le Dr Werner fournit bien plus de dĂ©tails dans un nouvel appendice important de la troisiĂšme Ă©dition du livre Evolution the Grand Experiment, exhaustif et magnifiquement illustrĂ©. Le DVD joint prĂ©sente plusieurs de ces admissions explosives par les palĂ©ontologues eux-mĂȘmes. RĂ©fĂ©rences et notes Sarfati, J., The non-evolution of the horse, Creation 21328–31, 1999; Revenir au texte Et selon la palĂ©ontologue spĂ©cialiste de l’évolution des vertĂ©brĂ©s Barbara Stahl, un basilosauridĂ© “n’a tout simplement pas pu ĂȘtre l’ancĂȘtre des baleines modernes”. Stahl, Vertebrate History Problems in Evolution,p. 489, McGraw-Hill, New York, 1974. Revenir au texte Williams, A. and Sarfati, J., Not at all like a whale, Creation 27220–22, 2005; Revenir au texte Batten, D., A whale of a tale derniĂšre mise Ă  jour mai 2012; Revenir au texte Batten, D., Rodhocetus and other stories of whale evolution, Creation 33354–55, 2011; Revenir au texte Van Niekerk, E., Ernst Haeckel, fraud is proven, Journal of Creation 25389–95, 2011; Revenir au texte Bienentendu, pendant la visite, vous pourrez consacrer un peu de temps Ă  deux de ses locataires les plus importants : le T-Rex et la baleine bleue de 29 mĂštres de long. En plus, une visite du musĂ©e amĂ©ricain d'histoire naturelle est l'occasion idĂ©ale de dĂ©couvrir certains des faits les plus intĂ©ressants sur la nature de notre planĂšte
Le MusĂ©um amĂ©ricain d'histoire naturelle American Museum of Natural History est l'un des grands musĂ©es de New York. Il est situĂ© sur l’üle de Manhattan dans le quartier de l’Upper West Side, au croisement de la 81e rue et Central Park West, face Ă  Central Park. Collections permanentes Sciences naturelles Le musĂ©e est connu pour ses collections de mammifĂšres africains, asiatiques et nord-amĂ©ricains, pour une reconstitution grandeur nature d’une baleine bleue suspendue dans le hall des ocĂ©ans, mais aussi une authentique pirogue de guerre Haida longue de vingt mĂštres, peinte et sculptĂ©e. On peut Ă©galement y admirer le Star of India, qui est le plus gros saphir bleu du monde. Un Ă©tage complet est consacrĂ© Ă  l’évolution des vertĂ©brĂ©s, en prĂ©sentant notamment l’histoire des dinosaures. Les collections abritent plus de trente millions de spĂ©cimens, ses collections d’insectes et de fossiles sont parmi les plus riches du monde. Le MusĂ©um est Ă©galement un centre de recherche notamment en anthropologie, astronomie, entomologie et autres branches traitant des invertĂ©brĂ©s, ornithologie, herpĂ©tologie, ichtyologie, mammalogie, minĂ©ralogie et en palĂ©ontologie des vertĂ©brĂ©s. Faune Hall de la vie sous-marine ; MammifĂšres nord-amĂ©ricains ; Hall de la biodiversitĂ© ; Petits mammifĂšres ; Oiseaux du monde ; MammifĂšres africains gorilles, gazelles, etc. ; Oiseaux d'ocĂ©ans ; Primates ; Reptiles et amphibiens. AmĂ©rique du nord ForĂȘts de l'AmĂ©rique du Nord dĂ©serts, haute montagne, bayou, etc. ; Environnement de l'État de New York ; MammifĂšres de l'État de New York ; Oiseaux de la ville de New York ; Oiseaux d'AmĂ©rique du Nord. MinĂ©ralogie Hall des mĂ©tĂ©orites ; Hall des minĂ©raux ; Hall du souvenir Morgan pierres prĂ©cieuses. Anatomie Évolution et biologie humaine hologrammes, squelettes, etc.. Cultures et civilisations humaines Les collections anthropologiques sont Ă©galement remarquables Peuples africains, asiatiques et du Pacifique ; Collections sur les amĂ©rindiens Mexique, AmĂ©rique centrale et peuples sud-amĂ©ricains Amazonie, PĂ©rou.
Réservezcette visite guidée privée du Musée américain d'histoire naturelle et laissez-vous surprendre par sa vaste collection. Des fossiles aux minéraux, votre guide vous conseillera sur le parcours que vous pourrez suivre avec lui à travers les plus de 50 expositions permanentes du musée.Pendant environ deux heures et demie, vous pourrez découvrir tous les recoins de cet

LeMuseum amĂ©ricain d’Histoire Naturelle de New York est un des plus grands du genre au monde. SituĂ© au bord de Central Park, il possĂšde des millions de spĂ©cimens de plantes, animaux, minĂ©raux, squelettes de tous genres etc.

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attirezvotre curiositĂ© pour l’univers au MusĂ©e amĂ©ricain d’Histoire Naturelle bien-aimĂ© de 148 ans. Des expositions spectaculaires telles que la baleine bleue de 94 pieds et le Tyrannosaurus Rex, aux spĂ©cimens de taxidermie, fossiles et artefacts anthropologiques, le MusĂ©e d »histoire naturelle ne peut pas ĂȘtre manquĂ©.
MusĂ©ed’histoire naturelle de New York. Un endroit parfait pour visiter avec la famille et voyager dans le temps pour tout apprendre sur l’origine de la vie de la maniĂšre la plus divertissante possible. Faites face au squelette gĂ©ant de dinosaure qui rĂšgne sur le musĂ©e et commencez votre visite. Si vous voulez savoir ce que vous pouvez faire d’autre avec les petits Ă  la maison
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