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Je chante, je chante du soir au matinJe chante sur mon cheminJe chante, je vais de ferme en chĂąteauJe chante pour du pain et je chante pour de l'eauAu poste, d'autres moustaches m'ont dit Au poste Eh, l'amiC'est toi le chanteur, c'est toi le vagabond ?Ton compte est bon, on va t'enfermer » C'est pas moi, non » C'est lui vous crĂ©e des ennuis ? C'est votre mari ? »D'abord vos corps qui se sĂ©parentT'es seule dans la lumiĂšre des pharesT'entends, chaque fois que tu respiresComme un bout de tissu qui se dĂ©chireEt ça continue, encore et encoreC'est que le dĂ©but, d'accord, d'accordL'instant d'aprĂšs, le vent se dĂ©chaĂźneLes heures s'allongent comme des semainesTu te retrouves seule, assise par terreÀ bondir Ă  chaque bruit de portiĂšreEt ça continue, encore et encoreMmh, c'est que le dĂ©but, d'accord, d'accord[Refrain]Y a des couples qui se dĂ©fontSur les lames de ton plafondC'est toujours le mĂȘme film qui passeT'es toute seule au fond de l'espaceT'as personne devant, personneLa mĂȘme nuit que la nuit d'avantLes mĂȘmes endroits deux fois trop grandsT'avances comme dans des couloirsTu t'arranges pour Ă©viter les miroirsEt ça continue, encore et encoreC'est que le dĂ©but, d'accord, d'accordQuelque chose vient de tomberSur les lames de ton plancherC'est toujours le mĂȘme film qui passeT'es toute seule au fond de l'espaceT'as personne devant, personneFaudrait qu'j'arrive Ă  en parler au passĂ©Faudrait qu't'arrives Ă  ne plus penser Ă  çaFaudrait qu'je l'oublie Ă  longueur de journĂ©eDis-toi qu'il est de l'autre cĂŽtĂ© du pĂŽleDis-toi surtout qu'il ne reviendra pasÇa fait marrer les oiseaux qui s'envolentLes oiseaux qui s'envolentLes oiseaux qui s'envolentTu comptes les chances qu'il te resteUn peu de son parfum sur ta vesteTu avais dĂ» confondre les lumiĂšresD'une Ă©toile et d'un rĂ©verbĂšreEt ça continue, encore et encoreC'est que le dĂ©but, d'accord, d'accordEt ça continue, encore et encoreC'est que le dĂ©but, d'accord, d'accord[Refrain]Y a des couples qui se dĂ©fontSur les lames de ton plafondC'est toujours le mĂȘme film qui passeT'es toute seule au fond de l'espaceT'as personne devant, personneQuelque chose vient de tomberSur les lames de ton plancherC'est toujours le mĂȘme film qui passeT'es toute seule au fond de l'espaceT'as personne devant, personneY a des couples qui se refontSur les lames de ton plafondC'est toujours le mĂȘme film qui passeLe mĂȘme film qui passeLe mĂȘme film qui passe

Pourtantcritique et notamment envers les cadres hĂ©raultais dans la semaine, mais visiblement gĂȘnĂ© au moment de joindre les actes Ă  la parole, l’entraĂźneur montpelliĂ©rain n’alignait que peu de jeunes joueurs malgrĂ©, aussi, de nombreuses blessures. Des jeunes vus que tardivement, encore une fois, alors mĂȘme que l’équipe pataugeait encore et toujours ce dimanche aprĂšs-midi Ă 

L’important est de ne jamais cesser de s’interroger. La curiositĂ© a sa propre raison d’exister. On ne peut pas s’empĂȘcher d’ĂȘtre en admiration quand on contemple les mystĂšres de l’éternitĂ©, de la vie, de la merveilleuse structure de la rĂ©alitĂ©. Il suffit simplement d’essayer de comprendre un peu ce mystĂšre chaque jour. Ne perdez jamais votre sainte curiositĂ©. », Albert
Thereis no strumming pattern for this song yet. Create and get +5 IQ. Music: Clara Luciani - Ambroise Willaume Lyrics: Clara Luciani Album: Coeur (2021) For Intro, Verse and Instrumental parts, you can add the B in bass to the chords. You can also play with capo 2, transpose -2 [Intro] Bm Bm Ah-ah, ah-ah G Em Ah-ah, ah-ah Bm Bm Ah-ah, ah-ah G
Je suis un con ! Evidemment commencer un texte par une telle affirmation peut surprendre, ai-je alors une si mauvaise image de moi-mĂȘme pour en arriver Ă  une telle profession de foi ? Non bien sĂ»r, je m’explique
 Depuis que je publie sur mon site personnel, essentiellement Ă  propos de la dĂ©gradation de la situation Ă©conomique et des remĂšdes Ă  apporter, je prends aussi rĂ©guliĂšrement contact avec les mĂ©dias et les instances politiques. On est ce que l’on fait et on juge les autres uniquement sur des actes ! » Croyez-vous que ces gens-lĂ  se sont donnĂ© la peine de me rĂ©pondre ne fut-ce qu’une seule fois de maniĂšre significative pour entamer le dialogue ou attraper cette main tendue ? Non, ils ne rĂ©pondent jamais, et s’ils le font, ce qui est rarissime, ce sera toujours d’une façon trĂšs formelle et trĂšs impersonnelle, ils vous lĂącheront immĂ©diatement ensuite. Chez ces gens-lĂ , on ne dialogue pas et on ne partage pas, ni le pouvoir, ni les idĂ©es, ni rien du tout. Circulez, y a rien Ă  voir ! Vous avez dit Esprit Charlie », oĂč ça ?Je ne vais donner qu’un seul exemple. Suite Ă  mon dernier texte, j’ai pris l’initiative d’écrire Ă  un grand mĂ©dia français pour lui faire part qu’il existait, en matiĂšre de politique Ă©conomique, d’autres solutions que celles Ă©voquĂ©es et pratiquĂ©es inlassablement depuis 30 ans. Ils me feront une rĂ©ponse qui ressemble plutĂŽt Ă  une fin de non-recevoir, et depuis, No news ! Voici leur rĂ©ponse Bonjour, Vous avez exprimĂ© votre opinion Ă  propos d'une Ă©mission de la RĂ©daction de xxxxxxx. Je vous remercie d'avoir pris le temps d'Ă©crire Ă  la chaĂźne pour faire part de votre rĂ©action. J'ai transmis votre mail au mĂ©diateur de l'information, afin qu'il en prenne connaissance. La question que vous posez est en effet de sa compĂ©tence. Celui-ci est votre interprĂšte auprĂšs de la rĂ©daction. Il se fait l'Ă©cho de vos remarques concernant l'information de la chaĂźne ». VoilĂ  le rĂ©sultat ! J’adresse un courrier personnel, motivĂ©, poli et rempli d’enthousiasme juvĂ©nile au rĂ©dacteur en chef d’une Ă©mission connue, il ne rĂ©pondra pas, un employĂ© subalterne le fera Ă  sa place et me propulsera dans les pattes d’un mĂ©diateur » du service public il s’agit d’une chaine dĂ©pendant du service public et ensuite, de quoi suis-je coupable ? dont j’attends encore la rĂ©action. Viendra-t-elle ? J’en doute, mais je peux me tromper, ce que j’espĂšre ! Je sais que la mode est aux mĂ©diateurs, tout le monde a peur de tout le monde, alors on filtre l’information mais est-elle impartiale alors ??, on pĂšse chaque mot pour ne dĂ©plaire Ă  personne Ă  la gauche surtout ! et on ne donne la parole qu’à certains, ceux qui ne vont pas faire de vagues et qui vont dire aussi ce qu’on attend d’eux. Adieu les dĂ©bats contradictoires, aux chiottes les solutions novatrices ! Il faut dire que nous sommes Ă  une Ă©poque couilles molles » oĂč seuls les brigands, les salopards et les barbares peuvent s’exprimer parce qu’ils ne demandent rien Ă  personne. Ils agissent les armes Ă  la main en faisant sauter les rĂ©fractaires, les autres, les honnĂȘtes gens qui voudront simplement exprimer un avis diffĂ©rent, innovateur et Ă©clairĂ© devront passer sous les fourches Caudines d’une espĂšce de censeur/commissaire politique qui dĂ©tiendrait, dans sa tĂȘte tellement bien faite, les clĂ©s de la morale universelle. Lui seul sait ce que l’on peut dire ou ce qu’il faut dire et il interdira la parole Ă  quiconque ne dira pas ce qu’il voudra entendre. Dans ce contexte de contrĂŽle, de prohibition et de censure politique, autant avouer tout de suite que les chances de passer au travers des mailles serrĂ©es du filet de la pensĂ©e-unique sont nulles, archinulles !! Mais, diable, pourquoi me coller un mĂ©diateur aux basques et, question subsidiaire C’est quoi un mĂ©diateur ? Selon le Larousse », le mĂ©diateur est une AutoritĂ© administrative indĂ©pendante chargĂ©e de rĂ©soudre par ses bons offices et par voie de recommandation les rĂ©clamations des administrĂ©s concernant le fonctionnement des administrations publiques. Personne proposĂ©e par les parties ou, Ă  dĂ©faut, choisie par l'Administration sur une liste de personnalitĂ©s impartiales et compĂ©tentes en vue de rĂ©gler un conflit collectif du travail. Personne internationale ou privĂ©e qui exerce une mĂ©diation dans un conflit international. Etonnant non ? Je n’ai fait qu’une seule chose toute simple ; Ă©crire Ă  quelqu’un gentiment et attendre de lui une rĂ©ponse. Je ne rĂ©clame pas au contraire, je fĂ©licite le journaliste, je ne suis pas davantage en conflit personnel ou international » avec le destinataire de mon mail, alors pourquoi la prĂ©sence d’un mĂ©diateur, serais-je dĂ©jĂ , sans le savoir, en Ă©tat de prĂ©-conflit avec mon interlocuteur ? Si oui, pourquoi ? Parce que je pense diffĂ©remment ? Vous avez encore dit dĂ©mocratie et libertĂ© de pensĂ©e ? OĂč ça ? Ce rĂ©flexe de mĂ©diation inutile ou forcĂ©e en l’absence de tout conflit » est agaçant parce qu’il dĂ©note d’un esprit tyrannique dont le but sera toujours de nous clouer le bec en application d’une variante de ce foutu principe de prĂ©caution qui annihile toute discussion, tue le dĂ©bat et interdit les nouvelles solutions. C’est Ă©galement le symbole d’une bien triste Ă©poque, celle qui vous dit, dans le silence de cette absence de rĂ©ponse ou de dĂ©bat Ferme ta gueule et fais ce qu’on te dit ! »La libertĂ© fout le camp, les parasites restent, mais pas seulement ; les tyrans aussi ! Donc je suis un dangereux con, ce que j’écris ne vaut pas un clou, ne doit pas davantage ĂȘtre diffusĂ©, discutĂ© ou offert au dĂ©bat public
Et pourtant, voici ce que quelques-uns de mes lecteurs en pensent, ils se reconnaitront dans ces quelques lignes, je les remercie encore pour leur soutien; Source 1 J'ai relevĂ© d'innombrables phrases que je considĂšre phrases-cultes, je ne les reprends pas, il y en a trop. Ce texte est tout simplement magnifique, Ă©crit dans des mots qui sont Ă  la portĂ©e de tous, avec des exemples Ă©mouvants
. Non, ils ne vous inviteront jamais sur un plateau-tĂ©lĂ©, ils ne comprendraient d'ailleurs pas ce que vous dites, tellement ils vivent dans un autre monde, celui des traĂźtres. Mais ça fait du bien de savoir que l'Ă©conomie peut encore ĂȘtre sauvĂ©e par des penseurs capables d'appliquer les mĂ©thodes indispensables ». Source 2 Une chose est certaine, vos textes sur l'Ă©conomie et le socialisme sont devenus plus intĂ©ressants que ceux d’éminents professeurs
C'est votre meilleur texte et j'attends la suite bien Ă©videmment
je suis Ă©berluĂ© par la justesse de ton et de propos. IM-PA-RA-BLE, RE-MAR-QUA-BLE!!! Super-grand merci!!! Effectivement, rien Ă  redire sur ce texte qui est dĂ©jĂ  dans ma bibliothĂšque virtuelle ».Source 3 TrĂšs bon texte un cours d'Ă©conomie, avec exemples et commentaires; trĂšs belles illustrations et trĂšs beau chat, continue ! »Ce ne sont lĂ  que quelques exemples rĂ©cents, je pourrais encore ajouter tous les autres et prĂ©ciser aussi que souvent je ne reçois que quelques mots d’encouragement Sources diverses trĂšs bon texte, excellente analyse, magnifique esprit de synthĂšse, brillante dĂ©monstration, analyse proche du gĂ©nie, des idĂ©es novatrices Ă  chaque fois, une plume extraordinaire, style incomparable, une vraie marque de fabrique, etc., etc
 » Alors, mes textes sont-ils si moches et si cons, faut-il vraiment m’écarter de toute les discussions comme si j’étais un dĂ©bile, un fou ou un fasciste ? Apparemment non, sauf pour ceux qui n’aiment ni la libertĂ©, ni la libertĂ© de pensĂ©e mais qui prĂ©tendent le contraire dans les manifestations de rue, Ă  la tĂ©lĂ©, Ă  la radio et dans les journaux subsidiĂ©s par l’Etat. RĂ©cemment encore, un lecteur devenu ami arrivĂ© Ă  moi grĂące Ă  un site de rĂ©information » sur lequel nous Ă©changions des commentaires frĂ©quents m’écrivait gentiment ces quelques mots Ouais, vous m'emmerdez parce que vous me manquez !!! Ceux qui vous connaissent ont de la chance ». Je me suis d’abord demandĂ© si j’avais bien lu, j’ai mĂȘme pensĂ© qu’il me tirait la gueule, alors j’ai lu, relu, et puis, je me suis dit, les larmes aux yeux, qu’au-delĂ  de la bataille des idĂ©es, j’avais Ă©galement remportĂ© celle du cƓur ! Merci l’ami ! Mais les mĂ©dias classiques et les politiciens ne veulent pas de moi, c’est naturel, ils n’ont ni cƓur, ni tĂȘte, ils ont simplement la conviction intime, profonde et bien ancrĂ©e de dĂ©tenir l’entiĂšre vĂ©ritĂ© ! Ce sont des fachos dĂ©guisĂ©s en dĂ©mocrates !Je n’ai aucune stratĂ©gie, je voudrais seulement gagner les esprits et les cƓurs, je ne fais pas de calculs, je suis honnĂȘte, franc et travailleur, je n’ai pas d’autres recettes, je suis l’exact contraire des sots cupides et corrompus qui nous gouvernent, alors ils ne m’aiment pas et je le leur rends bien. Mais, quoiqu’en pensent ceux qui me rejettent, mes Ă©crits plaisent et font mouche, le public apprĂ©cie, les politiciens dĂ©testent, dans le fond, c’est normal, je ne fais rien pour me rendre sympathique Ă  leur Ă©gard, mais il faut reconnaitre aussi que ce n’est pas moi qui ait ouvert les hostilitĂ©s ! Alors, si j’embrasse mes lecteurs, les autres, ceux qui me claquent Ă©lĂ©gamment la porte sur le nez et refusent aussi le dĂ©bat, je ne les embrasse pas, au contraire, je les prie mĂȘme d’aller se faire voir chez BelzĂ©buth oĂč les flammes de l’enfer leur rĂŽtiront leurs grosses fesses charnues pour l’éternitĂ© ! Non, je ne suis pas con, c’est plutĂŽt notre Ă©poque dominĂ©e par la facilitĂ©, le dogme et la tyrannie du consensus mou qui est lĂąche et stupide. Aujourd’hui, tout est formatĂ©, hors de ce format il n’y aura point de salut et pas d’invitation non plus de la part des mĂ©dias et du monde politique qui tournent uniquement en vase clos pour Ă©viter le dĂ©bat et prĂ©server leurs belles certitudes. Vous me direz aussi que je n’épargne pas mes adversaires dans mes Ă©crits, pourquoi me feraient-ils un cadeau ? Sans doute, mais qui a commencĂ© ? A force d’ĂȘtre rejetĂ© et pris pour un cave, le cave se rebiffe et mord oĂč ça fait mal, dans l’orgueil de ces inutiles vaniteux ! Si je suis trop dur dans mes propos, que dire alors de Flaubert qui s’exprimait par ces mots dans une correspondance qu’il avait adressĂ©e Ă  mademoiselle Leroy de Chantepie le 30 mars 1857 "Je n'ai de sympathie pour aucun parti politique ou pour mieux dire je les exĂšcre tous, parce qu'ils me semblent Ă©galement bornĂ©s, faux, puĂ©rils, s'attaquant Ă  l'Ă©phĂ©mĂšre, sans vues d'ensemble et ne s'Ă©levant jamais au-dessus de l’utile. J'ai en haine tout despotisme. Je suis un libĂ©ral enragĂ©. C'est pourquoi le socialisme me semble une horreur pĂ©dantesque qui sera la mort de tout art et de toute moralitĂ©. J'ai assistĂ©, en spectateur, Ă  presque toutes les Ă©meutes de mon temps". Merci Monsieur Flaubert, si vous Ă©criviez cela aujourd’hui, les mĂ©dias vous cracheraient Ă  la gueule, les politiciens Ă©galement, peut-ĂȘtre mĂȘme que demain, si vous Ă©tiez encore lĂ , ils vous colleraient un procĂšs au cul parce que bientĂŽt ils interdiront aussi qu’on les mette en doute tout simplement ! Ils se prennent pour des gĂ©nies, mais ce sont surtout des tyrans, de consternantes nullitĂ©s et des parfaits sans-gĂȘnes ! Retour aux faits Le libĂ©ralisme porte le succĂšs, mais l’Europe nous fait bouffer du socialisme Ă  la sauce pseudo-dĂ©mocrate quoiqu’en pensent ceux qui la prennent pour ultra-libĂ©rale et gueulent Ă  la tyrannie des marchĂ©s, des banquiers, des riches et des entrepreneurs ! Pourtant, quand on fait le tour des thĂ©ories Ă©conomiques et qu’on analyse la situation humaine un peu partout sur la planĂšte on se rend compte assez rapidement que la libertĂ© Ă©conomique est la clĂ© essentielle, sinon unique, du succĂšs des hommes et des entreprises. Or cette libertĂ© Ă©conomique n’est pas un concept abstrait ou une matiĂšre premiĂšre que l’on trouvera quelque part sous le sabot d’un cheval en semant du socialisme sur son chemin, cette libertĂ©-lĂ  est simplement l’expression de la libertĂ© gĂ©nĂ©rale laissĂ©e Ă  l’individu appliquĂ©e Ă  l’économie, ce qui veut dire qu’un homme prisonnier des contraintes et du dirigisme de l’Etat ne sera jamais capable de donner libre cours Ă  sa capacitĂ© crĂ©atrice comme il sera Ă©galement incapable de produire ou d’échanger correctement malgrĂ© toutes les mesurettes politiques imaginĂ©es et mises en Ɠuvre par un gouvernement autoritaire qui se dĂ©clare libĂ©ral ou dĂ©mocrate. On ne peut prĂ©tendre dĂ©fendre l’individu et lui voler, en mĂȘme temps, sa libertĂ©, c’est pourtant ce que fait chaque jour le pouvoir politique en Europe ! Le monde politique actuel n’est pas visionnaire, il ne dĂ©fend pas non plus l’homme contre la tyrannie, il est la tyrannie, il dĂ©truit, prend plus qu’il ne donne et se satisfait lui-mĂȘme plutĂŽt de satisfaire ceux qu’il devrait servir. Un pouvoir qui mĂ©riterait la reconnaissance et l’estime des citoyens est celui qui sera exemplaire dans tous les domaines. Or l’expĂ©rience nous montre que la politique politicienne a conduit Ă  la direction des affaires courantes » sans vision, sans grandeur, il n’y a pas de gouvernement rĂ©el ! de nos Etats brinquebalants de bien petits hommes, incompĂ©tents, carriĂ©ristes, mesquins et souvent corrompus. Cela ne peut pas fonctionner ! On peut toujours rĂȘver, en Europe, d’une Constitution Ă  l’amĂ©ricaine, mais, n’est pas Jefferson ou Georges Washington qui veut, ce ne sont pas nos petits oligarques europĂ©ens au regard court et Ă  l’esprit partisan qui en seront les auteurs, ils perdraient leurs privilĂšges, leurs nombreux postes et leurs prĂ©bendes ! La Mafia politique a remplacĂ© les Grands Hommes et le dĂ©sespoir a gagnĂ© doucement les couches populaires qui se jettent alors tĂȘte baissĂ©e dans les bras des nouveaux bolchĂ©viques. Si, quand il voit ça, le fantĂŽme de Thomas Jefferson pleure Ă  chaudes larmes, celui de Marx se rĂ©jouit et ceux de LĂ©nine et de Staline jubilent ensemble en tapant la carte sur un vieux guĂ©ridon posĂ© sur le sol dans les flammes de l’enfer. L’homme ne cessera pas de m’étonner, il prĂ©fĂšre la sĂ©curitĂ© Ă  la libertĂ©, il sacrifiera alors une partie de ses droits naturels au profit des avantages supposĂ©s apportĂ©s par la socialiste-dĂ©mocratie parce que le personnel politique et les mĂ©dias, alignĂ©s sur la pensĂ©e monolithique de la gauche, l’auront convaincu que c’est la seule issue possible pour que la justice soit et que l’égalitĂ© rĂšgne sur les citoyens. Or, si cette affirmation est complĂštement fausse, elle convient parfaitement aux politiciens qui, par ce petit jeu liberticide, accroissent la pression fiscale, la dĂ©pense publique, les dĂ©ficits, la redistribution, la dĂ©pendance, leur terrain d’intervention, l’accroissement des postes Ă  leur disposition et l’augmentation de leurs revenus immĂ©ritĂ©s. Conclusion voici l’équation du bonheur; Socialiste-dĂ©mocratie = des politiciens nombreux + des mĂ©dias Ă  leur service + des gens contents en sĂ©curitĂ© » aux frais des autres. Qui paient tout ça ? Les couillons mĂ©contents !Dans un tel contexte on comprendra aisĂ©ment que personne ne fera la publicitĂ© du libĂ©ralisme, du coup, quand on l’évoquera, mĂȘme devant de chauds sympathisants », ceux-ci ne comprendront pas de quoi l’on parle n’étant simplement pas informĂ©s des principes Ă©conomiques de base qui l’animent. Evoquer l’euro, ce monstre keynĂ©sien » splendide expression du professeur Jean-Louis Caccomo dont on pourra Ă©couter l’interview ici, suscitera la mĂȘme rĂ©action, mais, une fois de plus, qui leur aura expliquĂ© la monnaie ? Personne, toujours personne ! En ces domaines, l’ignorance domine, mais pas seulement
La mauvaise foi aussi ! LibĂ©ralisme et euro feront souvent tourner court toutes les discussions et il y aura aussi toujours quelqu’un pour vous rĂ©torquer que vous ĂȘtes un ultra libĂ©ral » ce qui n’existe pas, mais est utilisĂ© comme insulte suprĂȘme par celui qui prononce le terme !, cette espĂšce de dangereux extrĂ©miste Ă©conomique qui mettrait en pĂ©ril le nĂ©cessaire principe de solidaritĂ© qui doit exister dans toute dĂ©mocratie qui se respecte » par qui ?. Vous aurez beau expliquer, chiffres Ă  l’appui, Ă  votre interlocuteur Ă©bahi, content ou mĂ©content, que ce sont les pays libĂ©raux qui rĂ©ussissent le mieux, ceux par exemple oĂč il y a le moins de chĂŽmage 3% en Suisse et Ă  Singapour, celui-ci s’en fichera complĂštement, il prĂ©fĂšrera toujours, par paresse intellectuelle ou par habitude, rester prisonnier de son dogme, il vous prendra alors allĂšgrement pour un fou, pour un idiot ou pour un fasciste, parce que c’est bien connu, il n’y a que les fascistes pour aimer et dĂ©fendre la libertĂ© et le libĂ©ralisme en particulier je plaisante ! Or, si la Suisse est libĂ©rale, elle vient encore d’ĂȘtre classĂ©e le pays le plus heureux du monde » ? Alors, qui est le fou ? Celui qui crache sur le libĂ©ralisme ou celui qui vante le socialisme ou la socialiste dĂ©mocratie ? Pour information, la Belgique est en 19Ăšme position, la France en 29Ăšme position
 Dans sa quĂȘte de sĂ©curitĂ©, le citoyen europĂ©en au cerveau lavĂ©, gĂ©nĂ©ration aprĂšs gĂ©nĂ©ration, voudra s’abandonner Ă  la la nĂ©cessaire intervention de l’Etat » auquel il demandera surtout de limiter la libertĂ© des autres, l’autre Ă©tant curieusement vu comme l’ennemi Ă  abattre ou Ă  neutraliser. L’homme ne veut pas ĂȘtre libre, il veut ĂȘtre en sĂ©curitĂ© », c’est ma conviction et je ne suis pas le seul Ă  le penser; La dĂ©mocratie est basĂ©e sur un ensemble de mensonges si puĂ©rils qu’il doit ĂȘtre protĂ©gĂ© par un systĂšme de tabous bien rigides, car sinon, mĂȘme les esprits mĂ©diocres le mettraient en piĂšces. Son premier souci est de pĂ©naliser le jeu libre des idĂ©es... l’individu moyen ne veut pas ĂȘtre libre. Il veut ĂȘtre en sĂ©curitĂ©. » H. L. Mencken Or, contradiction suprĂȘme ; abandonner nos droits Ă  l’Etat, revient Ă  les livrer Ă  d’autres hommes, les hommes de l’Etat », les politiciens et les fonctionnaires, on serait alors en droit de se demander, en vertu de quel curieux principe, ces gens-lĂ  seraient plus aptes que nous-mĂȘmes Ă  dĂ©cider de l’usage que l’on voudrait faire de nos libertĂ©s ? Comme le dira Pascal Salin ; Aussi longtemps que les arguments en faveur de la libertĂ© individuelle n'auront pas conquis les esprits, la dĂ©mocratie restera un moyen trĂšs efficace d'Ă©tendre indĂ©finiment les activitĂ©s de l'État. » Le gout pour la sĂ©curitĂ©, le rejet de la libertĂ©, les mensonges, la mĂ©diocritĂ© des politiciens et la culture du ressentiment entretenue par la politique et les mĂ©dias nous auront conduits dans une situation d’échec permanent. Il faut d’abord nommer les causes de l’échec pour trouver les remĂšdes et les appliquer. Sans causes, il n’y aura pas de remĂšdes, pas de remise en question des principes qui gouvernent, c’est justement ce que veut le monde politique
L’immobilisme qui est le fondement du maintien de son pouvoir absolu ! Albert Camus dira Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde ». Sans changer de modĂšle culturel, l’inconnaissance continuera Ă  remplacer la connaissance, le libĂ©ralisme et le capitalisme associĂ©, source principale de l’épanouissement des hommes, continuera Ă  ĂȘtre rejetĂ©, banni ou haĂŻ par ignorance et par incomprĂ©hension. Pourtant, on ne pourra qu’opposer le collectivisme au libĂ©ralisme sachant aussi que celui-ci a toujours dĂ©rivĂ© partout et sans exception en tyrannie absolue. Le mariage des deux sera, quant Ă  lui, plus ou moins tyrannique selon que l’on mettra plus ou moins de socialisme dans cette union contre nature. Evidemment, il est plus facile de taper sur une minoritĂ© ; les riches, les banques et ce qu’ils reprĂ©sentent ; l’argent, la propriĂ©tĂ© et la finance que de faire face Ă  la rĂ©alitĂ© et dire Ă  tous qu’il n’y a pas d’autres solutions que celles qui consistent, pour tout le monde et chacun Ă  son niveau, Ă  essayer d’atteindre le niveau d’excellence. L’Etat qui n’a jamais entrepris voudra systĂ©matiquement imposer des rĂšgles absurdes Ă  ceux qui entreprennent, l’Europe fait la mĂȘme chose, elle voudrait maintenant contraindre Google qui a le tort de dĂ©velopper et de favoriser ses propres produits, ce qui est pourtant l’essence mĂȘme de toutes les entreprises. Verrait-on l’Etat imposer Ă  un boulanger l’obligation de vendre, Ă  ses frais, le pain du voisin avec l’obligation Ă©galement de lui remettre l’argent ensuite ? Non Ă©videmment, mais cela n’a pas plus de sens que de vouloir interdire Ă  Google de favoriser ses produits ! Celui qui n’aime pas Google, et c’est son droit, aura toutes les occasions d’utiliser un autre moteur de recherche, eh bien qu’il le fasse, l’Etat n’a pas Ă  intervenir dans cette affaire ! Mais, Ă©videmment, pour des technocrates europĂ©ens trĂšs ordinaires et doctrinaires, c’est trop simple, il faut qu’ils s’en mĂȘlent, ben oui, que feraient-ils sans cela, rentrer chez eux, comme ces politicards inutiles, mais alors, pourquoi les payer, eux et ces politiciens tonitruants ? Tous ces gens veulent justifier le prix qu’ils coutent, alors ils nous emmerdent ils ne savent faire que ça ! et limitent toujours davantage nos libertĂ©s, enfin, celles du voisin, le problĂšme est que le voisin c’est aussi souvent nous, alors on ne s’y retrouve plus trĂšs bien ! Quand, lors de rencontres, je demande aux gens s’ils sont contents des limites que les fonctionnaires nationaux, internationaux, transnationaux, intersidĂ©raux, sidĂ©rĂ©s et complĂštement allumĂ©s veulent imposer Ă  Google, ils approuvent en gĂ©nĂ©ral bĂȘtement et bĂ©atement, preuve que le bon peuple gavĂ© d’idioties ne comprend pas que ce sont ses propres libertĂ©s qui s’envolent lorsqu’une firme comme Google est attaquĂ©e arbitrairement. Le clientĂ©lisme, le populisme, l’ignorance, l’esprit dogmatique et la connerie des partis traditionnels et de la Commission europĂ©enne sont responsables de notre dĂ©route intellectuelle, morale et financiĂšre. En Europe continentale, le libĂ©ral est en gĂ©nĂ©ral un libĂ©ral timide, presque honteux, il se dĂ©clarera d’office, comme pour s’excuser, social-libĂ©ral ça fait partageux », c’est In ». Il sera aussi souvent Ă  la recherche d’un modĂšle politique nouveau », un concept nouveau dont ils n’a pas encore trĂšs bien dĂ©fini les contours. Or, plutĂŽt de rechercher un modĂšle nouveau, il ferait mieux de travailler ses classiques, la thĂ©orie Ă©conomique libĂ©rale, il y en a des bibliothĂšques entiĂšres ! Quand il aura fini, il aura pigĂ© que, ce qui manque, ce n’est pas un modĂšle politique magique » on en a assez des pseudos modĂšles inventĂ©s par des ignorants, mais simplement le laisser faire » Ă  tous les niveaux. Mais, l’Europe continentale est colbertiste, les modĂšles europĂ©ens s’attacheront toujours, peu ou prou, au dirigisme de l’Etat agrĂ©mentĂ© d’une bonne pincĂ©e de collectivisme, et ça, nous savons que cela conduira Ă  l’échec, celui dans lequel nous sommes dĂ©jĂ  installĂ©s ! Voici les mots rĂ©currents dans ces dĂ©bats qui n’en sont pas » Politique Ă©conomique dans le sens de la contrainte, coordination, rĂšgles du jeu qui dĂ©finit les rĂšgles ?, le systĂšme doit profiter au plus grand nombre ça veut dire quoi, qui va dĂ©cider et limiter le profit des uns pour le distribuer aux autres ?, certains auraient un intĂ©rĂȘt particulier dĂ©mesurĂ© et il faudrait limiter leur appĂ©tit ? qui jugerait de ça et sur quelle base ?, voilĂ  le langage que ces libĂ©raux qui n’en sont pas » nous opposent flirtant ainsi avec les rouges qu’ils prĂ©tendent combattre. Ces politiciens et ces candidats politiciens qui veulent se donner de l’importance » devraient simplement nous lĂącher la grappe, nous foutre la paix et cesser d’imaginer qu’ils sont utiles Ă  quelque chose en dehors de penser Ă  organiser les fonctions rĂ©galiennes de l’Etat. La dĂ©rive de notre systĂšme Ă©conomico-social trouve son origine dans l’action dĂ©bridĂ©e » du monde politique, c’est lui qu’il faut combattre, pas les braves gens qui soutiennent l’économie par leur travail et leur acharnement. Il faut, encore une fois, arrĂȘter de confondre les causes et les consĂ©quences. Le peuple est la seule cause de la croissance Ă©conomique, la politique socialiste est la seule cause de son ralentissement ou de son effondrement ». Ou, autrement formulĂ© Le ralentissement de la croissance ou son effondrement est la consĂ©quence unique de la politique Ă©conomique socialiste ou socialisante conduite par les gouvernements europĂ©ens successifs ». Combattre la loi du marchĂ©, c’est nier la nature des hommes dont elle est issue. Cette loi naturelle est antĂ©rieure Ă  toutes les thĂ©ories Ă©conomiques et Ă  tous les constructivismes, elle est incontournable, rejeter le marchĂ©, c’est renoncer Ă  la partie essentielle de notre humanitĂ©. Fermer la porte au marchĂ©, c’est freiner la crĂ©ation, l’innovation, l’esprit d’entreprise et l’investissement ce qui entrainera inĂ©vitablement une perte de croissance et d’emplois. Contester le marchĂ© qui est un fait !, se refermer sur soi et appeler au protectionnisme est non seulement une imbĂ©cilitĂ© immense qui dĂ©note d’une incomprĂ©hension crasse de la nature humaine et des principes Ă©conomiques sains, mais pas seulement
.C’est aussi une attitude criminelle qui dĂ©truit le tissu Ă©conomique entier et qui anĂ©antit tous nos espoirs de vie meilleure ! L’Europe se plante la Belgique aussi !, mais l’Irlande se rĂ©veille ! L’Irlande a enregistrĂ© une croissance de % en 2014, ce qui en fait la championne europĂ©enne incontestĂ©e, elle qui fut pourtant sauvĂ©e de la banqueroute il y a 5 ans dĂ©jĂ . Ce rĂ©sultat est magnifique, mais le cas de l’Irlande est particulier, d’abord et d’une façon gĂ©nĂ©rale, la pression fiscale est bien moindre lĂ -bas qu’elle ne l’est chez nous, sur », l’indice de libertĂ© fiscale affichĂ© est de %, pour l’Irlande alors qu’il n’est que de % pour la Belgique et de % pour la France. Quant Ă  l’indice sur les dĂ©penses publiques, il est de pour la France, de % pour la Belgique et de pour l’Irlande. Peu d’impĂŽts et peu de dĂ©penses publiques en Irlande, l’inverse chez nous, la diffĂ©rence est lĂ , le succĂšs et l’insuccĂšs aussi ! Bref, l’Irlande nous bouffe des petits pĂątĂ©s sur la tĂȘte ! Ensuite et comme le dira Jean-Marc Daniel, l’Irlande a fait une politique d’austĂ©ritĂ© qui a portĂ© ses fruits, les irlandais ont considĂ©rablement baissĂ© les dĂ©penses publiques voir indice plus haut et ils ont maintenu une fiscalitĂ© trĂšs favorable, notamment en ce qui concerne l’impĂŽt des sociĂ©tĂ©s. En outre, l’économie irlandaise est trĂšs dĂ©ployĂ©e vers le monde extĂ©rieur, les USA, par exemple. Dans ce contexte, l’Irlande sera capable de capter les Ă©volutions de croissance du monde entier et de bĂ©nĂ©ficier Ă©galement des bienfaits de sa politique interne. Elle gagnera sur les deux tableaux ! En langage clair ; l’Irlande pratique une politique libĂ©rale ouverte, elle n’écrase pas ses citoyens d’impĂŽts et elle ne jette pas plus le fric par les fenĂȘtres
C’est ce qu’on appelle une politique de l’offre doublĂ©e d’une gestion efficace !!!! Il ne faudra alors pas s’étonner que sa croissance flirte avec les 5% quand la petite Belgique dirigĂ©e par des Ăąnes-alphabĂštes Ă©conomiques » assistĂ©s d’une bande de gauchiste dogmatiques vĂ©gĂšte ou crevote misĂ©rablement. Celui qui voudra pourra encore lire diffĂ©rentes sources, ici et ici. Voici la dĂ©monstration faite que l’on peut rĂąler contre l’euro mais que l’euro n’est pas responsable de tout le malheur de l’Euroland » ! Oui, l’euro est une monnaie constructiviste, elle est inadaptĂ©e Ă  certains pays, je le pense, je l’ai dit, redit, Ă©crit, réécrit, mais j’ai toujours prĂ©tendu Ă©galement que la vĂ©ritable cause de la faiblesse de notre Ă©conomie se trouvait dans la politique Ă©conomique dĂ©sastreuse qui Ă©tait conduite chez nous avec la poursuite des dĂ©ficits et l’accumulation des dettes publiques. On doit serrer les boulons » ne pas dĂ©penser plus qu’on ne gagne-idem pour les Etats ! et mener conjointement une politique de l’offre ! Il faut faire les deux, pas l’un des deux !!! On peut ĂȘtre critique ou dĂ©monstratif, ce que je suis, mais on ne doit pas sombrer dans le dogme inverse Ă  celui du socialisme et s’en prendre Ă  la monnaie comme l’on s’en prendrait aux banques, Ă  l’ultra-libĂ©ralisme », Ă  l’AmĂ©rique ou au capitalisme comme le font les partis populistes » de gauche et de droite. Cette attitude n’est pas constructive parce qu’elle consiste Ă  prendre des boucs-Ă©missaires sans rechercher les causes rĂ©elles de nos dysfonctionnements Ă©conomiques. Il est amusant Ă©galement de rappeler Ă  quel point certains Ă©conomistes d’abord ardents dĂ©fenseurs de l’euro l’ont critiquĂ© ensuite. Parmi eux, il y a Christopher Pissarides », prix Nobel d’économie en 2010 qui aimait tant l’euro et appelait, il y a encore quelques mois, carrĂ©ment Ă  son dĂ©mantĂšlement arguant du fait qu’il avait créé une gĂ©nĂ©ration de chĂŽmeurs. J’en parlais ici ! Je doute, pour ma part, que l’euro soit, Ă  lui seul, responsable d’un tel cataclysme gĂ©nĂ©ral. L’atonie Ă©conomique europĂ©enne que nous connaissons, en termes de manque de croissance, de chĂŽmage ou de faillites d’entreprises n’est pas principalement due Ă  l’existence et Ă  l’utilisation de l’euro, mais Ă  la politique Ă©conomique de la demande » dĂ©sastreuse qui est conduite presque partout en Europe, par ignorance, par dogmatisme et par facilitĂ©. Il faudrait pratiquer une politique de l’offre et mesurer ses dĂ©penses, ce que personne n’a fait, sauf l’Irlande qui a Ă©tĂ© rĂ©compensĂ©e pour ça ! Si l’Irlande se redresse, elle n’est pas la seule, la Grande Bretagne conservatrice » de David Cameron, qui affiche un taux de croissance de %, aura suivi le mĂȘme chemin pour diverses raisons. L’Angleterre a d’abord rĂ©ussi Ă  baisser de maniĂšre drastique les dĂ©penses de certains ministĂšres, parfois mĂȘme de 30% le Canada a fait mieux ; jusqu’à 60% ! quand la France prĂ©voyait seulement de baisser les siennes de 5% par an sur une pĂ©riode de 3 annĂ©es seulement, ce qui est parfaitement ridicule. Du coup, la Grande Bretagne a Ă©tĂ© capable de ramener ses dĂ©penses publiques de de PIB chiffre 2009 Ă  pendant que l’Allemagne passait de de PIB Ă  et que la France faisait l’inverse, elle passait de Ă  ! Quant Ă  la Belgique, d’aprĂšs la Banque Nationale de Belgique , Les dĂ©penses primaires sont demeurĂ©es stables, Ă  51,3 % du PIB en 2014, et les charges d'intĂ©rĂȘts sont, elles aussi, restĂ©es, comme en 2013, inchangĂ©es, Ă  3,1 % du PIB soit, un total de de PIB
NO COMMENT !. Le rapport de la BNB prĂ©cisera aussi que les recettes se sont Ă©tablies Ă  51,1 % du PIB et que les administrations publiques enregistrent un dĂ©ficit de du PIB en 2014. Bravo !Tout va bien, heureusement que notre gouvernement est ultra-libĂ©ral », s’il avait Ă©tĂ© socialiste cela n’aurait sans doute pas Ă©tĂ© pire ! Pour en revenir Ă  l’Angleterre, les sorties de chĂŽmage sont deux fois plus Ă©levĂ©es que la moyenne europĂ©enne, en 2014, chĂŽmeurs ont trouvĂ© un emploi alors que emplois nets ont Ă©tĂ© créés en 2014. D’une façon gĂ©nĂ©rale, 31 millions de britanniques record d’avant crise battu ont un emploi et le taux d’activitĂ© des 16-64 ans atteint le taux le plus Ă©levĂ© depuis 1971. Le chĂŽmage est passĂ© de Ă  de 2010 Ă  2015, en France il est passĂ©, sur la mĂȘme pĂ©riode de Ă  !!! En Belgique le chĂŽmage, suivant Eurostat, s’établissait Ă  en fĂ©vrier 2015, c’est-Ă -dire Ă  une valeur quasi inchangĂ©e depuis dĂ©cembre 2012. C’est vrai que la politique libĂ©rale » de Michel-Fils » porte ses fruits. Plus d’impĂŽts, plus de dĂ©penses publiques, autant de chĂŽmage !!! AprĂšs la parenthĂšse belgicaine, retour Ă  l’économie britannique ! Depuis l’arrivĂ©e au pouvoir de Cameron, l’Angleterre a eu la possibilitĂ© de crĂ©er plus de millions d’emplois supplĂ©mentaires grĂące notamment au programme trĂšs efficace d’incitation fiscale appelĂ© EIS Enterprise Investment Scheme qui pousse le public Ă  investir dans les Start-up. Dans le cadre de ce programme, le gouvernement avait prĂ©vu des plafonds assez Ă©levĂ©s pour Ă©viter la multiplicitĂ© de tous petits investisseurs. GrĂące Ă  cette stratĂ©gie offensive et gagnante », l’investissement moyen aura Ă©tĂ© supĂ©rieur Ă  livres ce qui aura permis Ă©galement la crĂ©ation de nombreuses start-up et prĂšs de emplois de plus par an. Conjointement Ă  la mise en place de cette politique d’austĂ©ritĂ© sans prĂ©cĂ©dent depuis la pĂ©riode d’aprĂšs-guerre », Cameron a créé la Big Society », un concept au cƓur duquel on retrouvera trois principes qui concernent l’ensemble de l’action gouvernementale ouverture au privĂ©, rĂ©forme de l’éducation et du systĂšme de santĂ©, action civique, rĂ©formes du systĂšme de prestation sociales, etc
, ces trois principes sont DĂ©centralisation et subsidiaritĂ© Participation Ouverture et partenariat Pour terminer, on pourra encore ajouter que, suivant la Fondation Heritage » , l’indice des dĂ©penses publiques, en Grande Bretagne, est de et celui de la libertĂ© fiscale de Ces indices sont largement meilleurs que les nĂŽtres, ceci explique aussi cela ! Mais, ce n’est pas tout
. Les dĂ©penses publiques, les dĂ©ficits, les stratĂ©gies de niche, tout ça c’est trĂšs bien, mais, sur le terrain, pour le belge et l’anglais, ça donne quoi et c’est quoi la diffĂ©rence ? Si personnellement j’ai entrepris en Belgique et en France, il y a bien longtemps dĂ©jĂ , je ne veux plus le faire, vraiment plus jamais le faire ! Pour moi et pour les gens libres je ne parle pas des grosses boĂźtes et du capitalisme de connivence, la Belgique est un vĂ©ritable enfer fiscal dans lequel on est Ă©crasĂ© de charges, d’impĂŽts, de tracasseries en tous genres et dans lequel Ă©galement on subit l’arbitraire de rĂšgles stupides dĂ©cidĂ©es et mises en place par des gens pas trĂšs malins qui n’ont jamais rien créé de leur vie et qui n’ont qu’une seule idĂ©e en tĂȘte, mettre Ă  poil ceux qui bossent sĂ©rieusement ! Un jeune entrepreneur belge qui a fui la Belgique et qui pense strictement la mĂȘme chose que moi Ă©crira mĂȘme rĂ©cemment Je suis parti prĂ©cisĂ©ment parce qu’il est impossible d’entreprendre en Belgique. Les Belges ne sont pas fous, ils sont mĂȘme trĂšs raisonnables. Beaucoup de Belges caressent l’idĂ©e de crĂ©er leur propre affaire, mais la plupart y renoncent
 Et j’aurais tendance Ă  leur dire vous avez bien raison, ce n’est absolument pas le moment d’entreprendre en Belgique et c’est un entrepreneur belge qui vous le dit ». Il parlera des nuĂ©es d’administrations qui poursuivent les entrepreneurs, de la lourdeur Ă  crĂ©er une entreprise en Belgique, de son coĂ»t prohibitif, du niveau Ă©levĂ© du capital de dĂ©part € qui, dans la pratique, sert surtout Ă  payer des taxes le temps de bĂątir une clientĂšle, il Ă©voquera ensuite les myriades de taxes composant le saucisson fiscal qu’on nous fait avaler par tranches successives » qui engloutissaient prĂšs de 62% de son chiffre d’affaires et la montagne de courriers administratifs qui le submergeait inutilement et dans lequel il Ă©tait noyĂ© dĂšs qu’il avait eu l’audace incroyable de partir 15 jours en vacances. Bref, c’était le paradis Ă  la belge ! Alors, dĂ©goutĂ©, il a pris ses petites jambes Ă  son cou et il s’est barrĂ© monter sa boite
en Angleterre !LĂ -bas, il a créé sa boite, en une heure et pour 400 euros, en passant par un agent officiel chargĂ© d’établir la paperasse nĂ©cessaire. Le capital de dĂ©part est Ă©gal Ă  ZERO, il n’y a pas de TVA en Grande-Bretagne quand le chiffre d’affaires est infĂ©rieur Ă  livres et, last but not least, en six mois, il n’aura reçu que quatre courriers administratifs dont un pour le prĂ©venir de la date d’envoi de sa dĂ©claration d’impĂŽt. En rĂ©sumĂ©, les anglais vous foutent la paix, ils vous laissent l’opportunitĂ© d’agir et ne vous plument pas Ă  l’entrĂ©e comme ces crĂ©tins de continentaux incultes, Ă©cervelĂ©s et doctrinaires belges ou français !. Ce tĂ©moignage est accessible ici. Si vous voulez une boite en Angleterre, voilĂ  les dĂ©lais et les prix et, ça se passe par Internet ! Goodbye Belgium, Good Morning England ! Les exemples irlandais et britannique illustrent fort bien que le laisser faire », le bon-sens et la maitrise des dĂ©penses publiques apporteront de bons rĂ©sultats, quand le socialisme n’apportera que l’échec, la misĂšre, le ressentiment, la multiplication des pauvres, les faillites, la corruption, le capitalisme de connivence, l’injustice, l’inefficacitĂ©, la perte de confiance, l’augmentation du chĂŽmage, la tristesse, etc., etc., c’est-Ă -dire ; l’enfer socialiste versus le paradis libĂ©ral ! Le bon-sens est apolitique, le libĂ©ralisme aussi !! L’épargne des belges et leur patrimoine taraudent les mĂ©dias et les politiciens qui eux, voudraient bien mettre la main dessus pour nous faire payer le prix de leur incompĂ©tence. Cette question tripotait dĂ©jĂ  nos ministres l’annĂ©e passĂ©e, Ă  l’époque oĂč Trends » titrait 235,79 milliards d'euros, montant record sur les comptes d'Ă©pargne belges ». J’en avais parlĂ© ici. Nous voilĂ  reparti pour un tour, juste un an aprĂšs, comme quoi les mĂȘmes obsessions habitent les cerveaux de ceux qui font les news ». L’Echo titrait Les Belges se sont enrichis de 86 milliards d'euros en 2014 » Le Soir et Dhnet diront Les Belges se sont enrichis de 40% depuis 2001 »Selon L’Echo c’est surtout la valeur du patrimoine immobilier qui a progressĂ© mĂȘme si, au cours du quatriĂšme trimestre 2014, la Banque Nationale notait la progression des flux vers les carnets de dĂ©pĂŽts et Ă  vue milliards d’euros. Mais, dans le fond, ça prouve quoi cette bonne santĂ© financiĂšre affichĂ©e », que tout va bien, c’est ça le message ? Pourtant rien ne s’amĂ©liore vraiment au niveau des entreprises, de la croissance et des emplois !!! Ce que les uns prennent pour une bonne nouvelle, je l’interprĂšte comme le signe Ă©vident de la mauvaise politique Ă©conomique choisie par le gouvernement. L’argent est un moyen d’échange, il n’a jamais créé, par lui-mĂȘme, les conditions de reprise Ă©conomique, en voilĂ  encore la preuve. Combien de temps faudra-t-il pour qu’ils le comprennent, un jour peut-ĂȘtre ou jamais sans doute ! Si le gouvernement conduisait une rĂ©elle politique de l’offre en contractant aussi sĂ©rieusement ses dĂ©penses 30% au moins !, nous aurions des rĂ©sultats, Ă  dĂ©faut nous continuerons Ă  vĂ©gĂ©ter en attendant que notre Ă©conomie soit tirĂ©e vers le haut par celle des autres. C’est lamentable ! Le ministre des Finances Johan Van Overtveldt est trĂšs content des prĂ©visions de la Commission EuropĂ©enne pour la Belgique qui table sur une croissance de % en 2015 et sur une dette publique de du PIB, il en conclu que SA politique fonctionne trĂšs bien ! Et mon cul c’est du poulet !!! Des dettes abyssales, des dĂ©ficits constants, des dĂ©penses de l’Etat en hausse, un chĂŽmage constant depuis 2012, des faillites malgrĂ© des taux d’intĂ©rĂȘts Ă  ZERO ou presque et le pĂ©trole au plus bas, en effet, beau rĂ©sultat ! Si c’est tout ce que ces gnomes savent faire, ils feraient mieux de la boucler. Quels Ăąnes !!! Enfin, comme on ne pourra les contredire pour cause d’infos cadenassĂ©es » par la police de la pensĂ©e unique, on l’écrira, ici et ailleurs !! Notre ministre des finances est trĂšs content, on l’aura compris, mais est-il satisfait aussi de l’inquisition fiscale qui pĂšse sur les indĂ©pendants ? En effet, il y peu de temps, j’ai entendu sur Radio Nostalgie » que l’Etat allait renforcer pourquoi renforcer, on ne nous Ă©crase pas dĂ©jĂ  assez les contrĂŽles fiscaux des chefs d’entreprises, surtout de ceux qui dĂ©duisent les frais rĂ©els on aura compris cette lĂ©gitime suspicion ». Cette information allait ĂȘtre confirmĂ©e le lendemain dans la presse, notamment par RTL qui Ă©crivait Les chefs d'entreprise feront l'objet d'une attention particuliĂšre du fisc cette annĂ©e. Ils appartiennent aux neuf autres groupes de contribuables qui font partie d'une liste des prioritĂ©s des Finances en 2015, indiquent mardi L'Echo et De Tijd ». Quelle tristesse d’ĂȘtre dirigĂ©s par de tels crĂ©tins que dire d’autre et je me retiens, pour Ă©viter l’usage de grossiĂšretĂ©s moins acceptables, ils ne comprennent rien Ă  l’économie, mĂȘme quand ils sont bardĂ©s de diplĂŽmes, et ils pratiquent la chasse Ă  ceux qui entreprennent. C’est trĂšs con, mais c’est surtout minable, quand je pense qu’on parle d’un gouvernement libĂ©ral, c’est grotesque ! Ah, c’est certain, tout va aller beaucoup mieux avec de telles mesures, quelle blague !!! Il y a peu aussi, nous Ă©tions le 1er mai et il fallait fĂȘter ça dignement !A cette occasion Elio Di Rupo a tenu un discours musclĂ© », il nous dira Il n’a pas fallu 6 mois sans les socialistes au gouvernement fĂ©dĂ©ral pour que toutes les digues se rompent, les travailleurs n’ont plus de relais au gouvernement et ils paient le prix fort de l’absence du PS, les atteintes au pouvoir d’achat et au droit des travailleurs sont sans prĂ©cĂ©dents depuis plus de 30 ans », il ajoutera beaucoup de gens ne s’en rendent pas compte, mais ils paieront trĂšs cher, dans un proche avenir, ou au moment de leur pension, la politique rĂ©gressive du gouvernement MR, NV-A
.Une alternative socialiste forte est la seule maniĂšre de ramener de la justice sociale dans notre pays et de rendre au citoyen l’espoir en l’avenir et nous continuerons Ă  dĂ©montrer que la droite est forte avec les faibles et faibles avec les forts ». Ben oui, le socialisme est un Ă©chec partout et le camarade Elio » voudrait en remettre une bonne couche, c’est normal, le PS vit sur le dos des citoyens en dĂ©fendant la lutte des classes et en divisant la population. Il devrait savoir que l’économie se gĂšre ensemble et pas les uns contre les autres, personne n’est l’ennemi de personne, sauf dans la tĂȘte malade des socialistes qui rament pour eux et contre le Peuple ! Enfin, ils sont marxistes et logiques avec eux-mĂȘmes, on ne pourra leur en vouloir sur ce point. Quant Ă  Charlot Michel, l’éternel Monsieur Patate, il est trĂšs content de lui et du MR, il dira avec Ă©nergie C’est les yeux droit dans l’avenirmoi j’aurais dit ; ce sont ! que nous avons fait le choix de la responsabilitĂ©, le choix de prendre notre destin en mains
 ». Comme je suis curieux, j’attendais la suite en me demandant les choix qu’il allait Ă©voquer pour justifier son bel enthousiasme et bien, je suis restĂ© sur ma faim, son discours s’est arrĂȘtĂ© lĂ , comme ça, d’un coup, en plein milieu d’une belle envolĂ©e !!! Des mots, rien que des mots et peu de contenu, comme dans tous les discours politiciens qui ressemblent plus Ă  une monumentale pitrerie qu’à une dĂ©monstration de fond. Ce type est une imposture ! Bart De Wever s’y met aussi !!! Bart De Wever me semblait ĂȘtre le plus sensĂ© des politiciens belges, il parle souvent avec justesse et bon-sens, pourtant le plan gouvernemental auquel son parti est liĂ© ne vaut pas un clou Ă©conomiquement parlant, c’est le statuquo, je l’ai dĂ©jĂ  expliquĂ©. Je tombe maintenant sur cet article et lis avec consternation Bart De Wever a par ailleurs jugĂ© qu'une grande rĂ©forme fiscale serait plus efficace en pĂ©riode de haute conjoncture Ă©conomique...Une taxation sur le capital est Ă  exclure ouf ! Mais, quid de l’impĂŽt cadastral qui est dĂ©jĂ  un impĂŽt sur le capital ? mais une future taxation supplĂ©mentaire sur les revenus du capital peut faire partie d'une nĂ©gociation
 ». Or, la conjoncture n’est pas une maladie qui nous tombe sur le dos par hasard, nous crĂ©ons notre propre conjoncture » par l’action des politiques Ă©conomiques mises en oeuvre, il faudrait justement faire l’inverse de ce qu’il prĂ©conise et mener une grande rĂ©forme fiscale pour agir sur la conjoncture. Aurait-on vu la Chine et la Russie communistes attendre que la conjoncture s’amĂ©liore pour libĂ©raliser leur Ă©conomie ? Non Ă©videmment, c’est absurde, s’ils avaient fait ça, ils en seraient oĂč en est aujourd’hui la CorĂ©e du Nord, les russes et les chinois n’étaient pas si idiots les politicards belges ; oui !, ils ont agi en amont pour faire Ă©voluer favorablement leur Ă©conomie. Mais, en Belgique, on attend que ça tombe du ciel, au fou ! Quant Ă  augmenter les taxes sur les revenus du capital, cela consiste Ă©galement Ă  faire l’inverse de ce qu’il faudrait faire, c’est-Ă -dire ; baisser les impĂŽts sur les revenus du travail une flat tax Ă  10%, supprimer ; niches fiscales, subsides
 et ADAPTER les dĂ©penses publiques en consĂ©quence. On doit adapter les dĂ©penses publiques aux ressources de l’Etat et non adapter l’impĂŽt Ă  sa gabegie ou Ă  sa voracitĂ© ! VoilĂ  que la NV-A se socialise, on aura tout vu ! Je voyais en Bart De Wever l’homme qui allait rĂ©volutionner sinon la Belgique, au moins la Flandre, je me suis trompĂ©, il est finalement comme les autres, un Ă©tatiste ; triste affaire ! Conclusion ; PS, MR, NV-A, mĂ©dias, tous ces gens sont Ă  cĂŽtĂ© de la plaque, parfaitement incompĂ©tents et disent aussi n’importe quoi, il est tellement facile de les contredire qu’ils ont prĂ©fĂ©rĂ© nous interdire la parole ! Quant Ă  la trĂšs socialiste FGTB, elle a prĂ©fĂ©rĂ© partir en dĂ©lĂ©gation d’une soixantaine de personnes fĂȘter le 1er mai Ă  Cuba avec ses frĂšres socialistes. Les rouges aiment les Castro sans doute pour la couleur du sang qu’ils ont sur les mains, enfin, peu importe la raison, un petit voyage au soleil des caraĂŻbes dans une dictature socialiste au frais des cotisants ou sur l’argent pompĂ© au travail populaire, cela ne se refuse pas. Ne pas oublier le pactole que ce syndicat engrange chaque annĂ©e, entre 150 et 200 millions d’euros j’en ai parlĂ© ici, alors, on ne va pas chialer pour un petit voyage de rien du tout, ne soyons pas mesquins, euros prix estimĂ© du voyage, ce n’est rien du tout, au diable l’avarice, surtout quand il s’agit de l’argent des autres, aprĂšs tout, on s’en fout ! D’ailleurs Mateo Alaluf, professeur Ă©mĂ©rite en sociologie de l’ULB, nous confiera avec naturel Cela fait partie en gros de la solidaritĂ© internationale et du fait qu’il est normal que les syndicalistes de divers pays se connaissent, c’est particuliĂšrement indiquĂ© le 1er mai qui est par dĂ©finition une fĂȘte internationale des travailleurs ». Il parait aussi que ce type de voyage et frĂ©quent dans le monde syndical. Ben voyons, t’as raison Mateo, oĂč il y a de la gĂȘne, il n’y a pas de plaisir ! Il n’y a pas que ça, parce que la Belgique, c’est aussi celle des copains et des coquins. Tout le monde se souviendra du gĂ©nial Wathelet SeptiĂšme du nom » dont j’avais parlĂ© ici. Le gĂ©nie avait songĂ© Ă  imposer les pneus hiver uniquement en cas de couche de neige persistante et lorsque les routes sont glissantes ». Fallait y penser, mais faudra qu’on m’explique la valeur ajoutĂ©e de cette idĂ©e Ă  l’image du bonhomme
Absurde ! Plus tard, l’audacieux se faisait piquer, alors quil Ă©tait SecrĂ©taire d’Etat Ă  la mobilitĂ© donc un exemple pour tous les conducteurs !!! Ă  126Km/h, dans une zone en travaux sur l'autoroute E42 Namur-LiĂšge, oĂč la vitesse Ă©tait limitĂ©e Ă  90 km/h , j’ai lu quelque part que, pour s’excuser, il avait prĂ©textĂ© avoir Ă©tĂ© distrait. Ben tiens, pourquoi pas, mais avec le poste qu’il occupait, c’est une piĂštre excuse, il se fout de qui ? Mais de nous comme d’habitude ! Ensuite, Melchior le maladroit », dans l’exercice de son mandat de SecrĂ©taire d’Etat Ă  la noix » s’était aussi pris mĂ©chamment les pieds dans le tapis en voulant modifier certaines routes aĂ©riennes autour de l’aĂ©roport de Bruxelles National. Le pauvre s’est trouvĂ© confrontĂ© Ă  une levĂ©e de boucliers venant de toutes parts, tant et si bien qu’un jour il a Ă©tĂ© dĂ©barquĂ© de son poste de SecrĂ©taire d’Etat et de la politique. Jusque-lĂ , tout va bien ! Mais oĂč ça commence Ă  coincer c’est que la presse et les mĂ©dias subsidiĂ©s pour la plupart nous annonceront alors avec une admiration complaisante que le dĂ©nommĂ© Melchior Wathelet quitte la politique pour le privĂ© et qu’à ce titre il devient CEO d’une sociĂ©tĂ© privĂ©e employant prĂšs de 200 personnes une source ici ! Mazette, fichtre, diantre, ça jette ! Moi et d’autres
 qui ne reconnais aucune qualitĂ© au bonhomme, je me dis que ce plan pourri doit cacher quelque chose, comment, en effet, un type sans formation sĂ©rieuse, qui n’a jamais rien foutu de sa vie et collectionne boulettes sur boulettes peut-il ĂȘtre parachutĂ© Ă  la tĂȘte d’une importante PME ? VoilĂ  la rĂ©ponse En fait on » l’a bombardĂ© Ă  la tĂȘte de Xperthis, une boite dont l’Etat tire toutes les ficelles ! La ficelle semble un peu grosse, mais c’est pourtant la rĂ©alitĂ© ! Eh oui, Xperthis Group est dĂ©tenu par deux actionnaires identifiĂ©s ; Network Research Belgium dĂ©tenue par ; Ethias Publifin SociĂ©tĂ© walonne des eaux etc., etc., en fait rien que des sociĂ©tĂ©s appartenant directement ou indirectement Ă  l’Etat. Netconcept dĂ©tenue par ; Xperthis Group Hahahaha ! Il paraitrait aussi que les clients de ladite entreprise soient surtout des hĂŽpitaux publics, dans ce contexte, il sera difficile de prĂ©tendre qu’il ne s’agit pas d’un poste de complaisance offert par les petits potes politicards. Autant profiter des amis, hein Melchior ! Flaubert avait raison, comme lui, je n'ai de sympathie pour aucun parti politique ou pour mieux dire je les exĂšcre tous, et nous avons raison, la politique ce sont les magouilles dans le dos des gens ou mĂȘme carrĂ©ment bien en face d’eux parce que ces gens-lĂ  se croient tout permis et donnent toujours l’impression Ă©galement d’ĂȘtre protĂ©gĂ©s par le systĂšme dont ils sont les fondateurs, les utilisateurs, les juges et les parties. C’est Ă  vomir ! Alors, en quelque mots, voici le bilan de tout ce que je viens d’écrire ; inefficacitĂ© des partis politiques et des syndicats sauf quand il s’agit de soigner leurs intĂ©rĂȘts, politique partisane, revancharde Ă  tendance gauchisante confirmĂ©e mĂȘme Ă  droite, bĂȘtise, ignorance, analphabĂ©tisme Ă©conomique, nĂ©potisme, tendance dictatoriale des mĂ©dias et des partis politiques, immobilisme, aveuglement, vanitĂ©, etc., etc
 Conclusion Encore une fois, je ne sais pas si je dois rire ou pleurer quand je vois tout ça, parce que je lis dans le futur comme dans un livre ouvert. Il n’y a pas longtemps, les pays qui dĂ©fendent l’Europe et l’euro courraient pourtant derriĂšre leur stock d’or mĂȘme les USA et la Suisse !, personne n’y a compris quelque chose, alors qu’il est Ă©vident qu’il s’agissait d’un geste de dĂ©fiance vis-Ă -vis de l’euro et des monnaies fiduciaires en gĂ©nĂ©ral. D’ailleurs, dans la foulĂ©e, les suisses ont lĂąchĂ© l’euro, c’était un geste prĂ©visible et un signe, curieusement incompris sur le moment, pourtant c’était clair ; ils avaient perdu toute confiance dans l’aventure europĂ©enne ». Du coup le CHF s’est envolĂ© dans les minutes qui ont suivi cette annonce et l’euro s’est retrouvĂ© Ă  paritĂ© avec lui. On venait de perdre prĂšs de 20%, les couillons Ă©taient contents, mais ce sont des couillons ! Ensuite la BCE s’est lancĂ©e dans une politique keynĂ©sienne dĂ©sastreuse de stimulation de la demande par le rachat de dettes souveraines en remettant de l’argent dans la machine europĂ©enne ». Les suisses avaient eu le nez fin ou l’oreille aiguisĂ©e. Enfin, il y a les grecs de la gauche extrĂȘme, ceux qui avaient une grande gueule, ils n’allaient pas payer leurs dettes et foutre le bordel, maintenant ils se couchent, mais ils voudraient faire payer les autres. C’est bien la gauche, on ne la changera jamais ! Evidemment, tout cela est un non-sens Ă©conomique, cela ne marchera pas et c’est ce que nous verrons dans une troisiĂšme partie. Jadis mes professeurs m’avaient dit Instruis-toi ! » Ils se sont trompĂ©s
ça ne sert Ă  rien, l’époque appartient aux ignorants ! A suivre

verseem la mĂȘme nuit que la nuit d'avant, les mĂȘmes endroits deux fois trop grands g t'avances comme dans des couloirs, tu t'arranges pour Ă©viter les
Paroles D'abord vos corps qui se séparent T'es seule dans la lumiÚre des phares T'entends à chaque fois que tu respires Comme un bout de tissu qui se déchire Et ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord L'instant d'aprÚs le vent se déchaßne Les heures s'allongent comme des semaines Tu te retrouves seule assise par terre
Trouvezles paroles. La princesse et la grenouille. Menu . CrĂ©er. AlĂ©atoire . CrĂ©er un compte Disney paroles - Creuse encore et encore. Trouvez les paroles. La princesse et la grenouille Créé par Chvtr. Profil Quiz dĂ©jĂ  abonnĂ© s'abonner? Évaluation: DerniĂšre actualisation : 22 mars 2022. Informations additionnelles concernant ce quiz >> PremiĂšre soumission: 3 novembre 2021
zyNIb. 471 337 477 254 391 399 71 19 46

et ça continue encore et encore parole