Che Strano chiamarsi Federico Un film de Ettore Scola Qu’il est étrange de s’appeler Federico est un film hommage à Federico Fellini, à son art et à sa personnalité. Le cinéaste Ettore Scola fait revivre leur rencontre au sein du journal satirique Marc’Aurelio dans les années 1950, leurs amis communs – parmi lesquels Marcello Mastroianni – et surtout le plaisir partagé de faire des films… Italie - Italie - 2013 - 93 min - Couleurs - - VOSTF - Visa n° 139936 À propos Au cinéma le 9 juillet 2014 QUAND UN GRAND RÉALISATEUR ITALIEN RACONTE LE PLUS MYTHIQUE DE TOUS LES CINÉASTES J’avais envie de parler avec Federico. De convoquer des souvenirs, de retrouver des conversations, des documents, des dessins qu’il avait faits. […] On riait beaucoup avec Federico. De la vie, du monde et de lui-même. » Ettore Scola À l’occasion des vingt ans de sa disparition, Qu’il est étrange de s’appeler Federico retrace l’incroyable parcours de l’immense réalisateur italien Federico Fellini, et notamment la grande histoire d’amitié qu’il partagea avec Ettore Scola, son compatriote cinéaste de onze ans son cadet. Après dix années d’absence dans le paysage cinématographique, le réalisateur d’Affreux, sales et méchants revient derrière la caméra pour évoquer celui qui fut à la fois son mentor et son ami, et dont le parcours fut souvent entremêlé avec le sien – de leurs débuts au sein du journal Marc’Aurelio à leur consécration mondiale en tant que cinéastes, en passant par leur amitié commune avec Marcello Mastroianni. Pour réaliser ce film hommage, Ettore Scola privilégie une esthétique forte et atypique puisque son oeuvre est à la croisée du film documentaire, présentant de nombreux documents d’archives, et du film de reconstitution quasi expérimental – avec les petits-fils de Scola pour jouer les rôles des deux cinéastes dans leur jeunesse. Acclamé à la Mostra de Venise de 2013, Qu’il est étrange de s’appeler Federico raconte de la plus belle et de la plus inventive des façons la vie et la carrière extraordinaire d’une légende du cinéma, Federico Fellini. Crédits Réalisation Ettore SCOLA Scénario Ettore SCOLA, Paola SCOLA, Silvia SCOLA Avec Tommaso LAZOTTI, Maurizio DE SANTIS, Giacomo LAZOTTI, Giulio FORGES DAVANZATI Musique Andrea GUERRA Directeur de la photographie Luciano TOVOLO Décors Luciano RICCERI Montage Raimondo CROCIANI Producteur exécutif Guido SIMONETTI Kit pro
Villani: paysans, grossiers, incultes, affreux-sales et méchants .. Il a dû se faire piquer par la tarentule. Il a la pizzica. Il danse la pizzica. Il faut le soigner à grands coups de tarentelles. Et dire que son grand-père ou arrière grand-père n’était qu’un simple napolitain, bien plus intelligent que lui en définitive.
Bong Joon-ho aime les mélanges et l’impureté. Depuis plus de vingt ans, il fouille les poubelles de son pays pour les emballer dans des films enragés, punks et passionnants. Memories of Murder, entrelaçait le thriller et la chronique rurale en racontant la poursuite d'un tueur en série par une bande de flics de campagne consternants. The Host était un film de monstre qui faisait dans la satire politique, le mélo familial, le tract écolo warrior et la comédie. Mother ? Un drame familial construit comme un mille-feuilles avec une couche de mélo filial, une autre de métaphore sociale et une parabole psychanalytique comme glaçage. Des genres et des tonalités différentes mais à chaque fois un même schéma. A partir de l’observation de drames humains riquiquis, Bong Joon-ho construit des fictions explosives qui échappent à la norme. Il réinvestit les genres pour mieux les dissoudre, les concasser, et faire surgir à la place un objet grandiose et grotesque, kafkaien et terrifiant, malaxant des ingrédients et des références a priori incompatibles. Après ce tiercé démentiel, Bong avait tenté sa chance en langue anglaise avec Le Transperceneige et Okja deux superproductions internationales où sa puissance de feu se diluait un peu. Parasite apparaît donc d’abord comme un retour aux sources en Corée et à sa critique dialectique et littérale du Korean Dream ». Comme Memories of Murder, The Host et Mother Parasite traque les monstres qui prospèrent sur l’amnésie des années de dictature, la corruption et un capitalisme destructeur. C'est la blague du festival il ne faut pas dévoiler les ressorts des films qu'on voit. On ne dira donc pas trop de l’intrigue du film qui joue sur de multiples rebondissements et dont, il faut l'avouer, une partie du plaisir repose précisément sur les effets de surprises. Mais posons le décor. Parasite commence à la manière d’Affreux, sales et méchants, par la description d’une tribu prolo. Ki-Taek, sa femme, son fils et sa fille forment une famille unie, mais pauvre. Ils vivent dans un appart en sous-sol qui ressemble à un cloaque. Les poivrots pissent sur leurs fenêtres, leurs chiottes explosent et déversent la flotte des égouts dans le salon... l'enfer. Ils tentent comme ils peuvent de joindre les deux bouts et s’en sortent grâce à des combines minables plier des boites à pizza pour gagner un peu d’argent. Un jour, un copain de Ki-Woo, le fils, lui propose un job bien payé faire le prof d’anglais pour une fille de riches. Ki-Woo accepte et active alors un engrenage qui va faire sortir la famille de son trou et la propulser dans un vortex de luxe et de violence folle. En s’invitant chez les riches, Ki-Taek et sa famille vont provoquer le chaos, transformer la rancœur et le sentiment d'injustice en énergie furieuse et vitale. Tout le film s’organise donc autour de ces morpions qui vont renverser l’ordre social. Mais s’agit-il vraiment des parasites du titre ? Bong ne visait-il pas plutôt les privilégiés ? Ou, le titre étant au singulier, ne pensait-il pas plutôt à un invité-surprise de dernière minute ? Comme dans ses films précédents, Bong s’amuse donc avec les genres, reprenant les codes du home invasion, construisant un simili film de casse avec recrutement des membres et mise en place d’un plan infaillible et troussant une farce où les chamailleries de la famille deviennent le ressort de scènes de comédie d'un film qui est au fond aussi drôle qu'inquiétant. Car, malgré l’humour dévastateur du début, Parasite devient vite un film à suspens où la tragédie le dispute à la bouffonnerie quand le destin s’abat sur cette maison de rêve le film bifurque vers la métaphysique et l’absurde kafkaïen. Tout cela est comme toujours chez le cinéaste, mis en boite avec une maestria furieuse les lents travellings dans la maison, la photographie glacée et luxuriante, le jeu subtil des acteurs entre agitation et hébétude, l'efficacité cinglante des cadres et la structure quasi théâtrale de la dramaturgie font de ce Parasite une oeuvre jubilatoire en même temps qu'un instrument critique redoutable. Bong Joon-ho décrit un monde le notre qui, privé d'idéal politique crédible et de toute vision morale des rapports humains, retourne à la sauvagerie dont il avait cru péniblement s'extirper et s’enferme dans une spirale dont on ne sortira qu’amputé. Le désossage des travers du capitalisme et de la puissance aliénante du fric innerve une épopée aux soubresauts virtuoses. Ca mériterait au moins un prix de la mise en scène, Alejandro. Une Palme, même ?
Ilsn’ont pas encore dix ans et sont déjà des affreux, sales et méchants, ces petits gamins que l’ennui et la misère pousseront peut-être dans quelques années sur la voie de la délinquance. Et dans un environnement insalubre où la fatigue est grande, la mort n’est jamais loin et emporte les anciens. Mais les gamins du bidonville doivent grandir plus vite que les autres et n’ontTom Villa - Ils font ça n'importe quand les méchants! Deux jurés de X-Factor se font virer car ils ont été trop méchants. Soyez le premier à donner votre avis sur ce film Publier un avis. Extrait 1 "La famille c'est comme la merde". Le Bal Ballando ballando. Nom affreux sales et méchants vostfr Format Fichier D'archive Système d'exploitation Windows, Mac, Android, iOS Licence Usage Personnel Seulement Taille MBytes Signaler cette vidéo Quel est le problème? Le Dîner La Cena. Les Nouveaux Monstres I nuovi mostri. Les méchants, c'est pas très gentil! Gili, historien du cinéma, nous parle du film. Le Commissaire Pepe Il commissario Pepe. Tom Villa - Ils font ça n'importe quand les méchants! Pac-Man et Donkey Kong sont méchants!Nous nous sommes tant aimés C'eravamo tanto amati. Une journée particulière Una giornata Affreux, sales et méchants - VOFernand Raynaud - Les Gens sont Méchants. Giacinto règne en tyran sur sa famille Les méchants, c'est pas très gentil! La fausse bande-annonce qui va te retourner le cerveau! zalesVoulez-vous effacer les recherches récentes? Brutti, sporchi e cattividi Ettore Scola, con Nino Blu-ray le 8 octobre Deux jurés de Ey se font virer car ils ont été trop méchants. Il poursuit malgré tout sa carrière avec La Cena Le Dineret Concorrenza sleale Concurrence déloyale, qui passent plutôt Nouveaux Monstres I nuovi mostri. Intégrer la vidéo Bande-annonce Plus de vidéos du film Parlons femmes Se permettete parliamo di n'avez pas encore de compte? La Plus Belle Soirée de ma vie La più bella serata della mia Affreux, sales et méchants streaming Complet sur filmFSSe connecter Continuer avec Facebook Continuer avec Google. Les meilleurs méchants au cinéma. Extrait 1 "La famille c'est comme la merde". Affreux, sales et méchants. Giacinto règne en tyran sur sa famille Affreux, sales et méchants Brutti, sporchi e Affreux, sales et méchants - VO - Vidéo dailymotionDirecteur de la photographie Affreux, sales et méchants - VO. Il enchaîne avec plusieurs films dont la comédie dramatique Dramma della gelosia Le Drame de la jalousieavec Marcello Mastroianni. Top 10 des méchants les plus charismatiques au cinéma! Pourquoi les méchants visent toujours mal? Un bidonville de Rome, dans les années Le Roman d'un jeune homme pauvre Romanzo di un giovane Terrasse La terrazza. Toutes les recherches récentes seront supprimées. Drame de la jalousie Dramma della gelosia. Chiens méchants attaquent requins. UKEbe. 14 228 71 367 167 46 196 6 390